Penser un nouveau monde ensemble
La nouvelle donne pour « une Nouvelle Société »
A l’heure où ces lignes émergent de pensées tourmentées, la pandémie du COVID-19 agresse l’humanité.
Au premier rang le peuple de Chine qui a souffert des premiers maux du virus destructeur.
En quelques semaines, les caméras et les yeux du monde entier se sont tournés vers Wuhan, épicentre du fléau, et ses premières victimes déjà trop nombreuses. La première alerte de danger imminent était donnée.
Des moyens colossaux étaient mis en œuvre pour la construction en quelques jours d’un hôpital tout entier. L’occident était bouché bée. L’ampleur de l’épidémie poussait au confinement toute une ville puis une région entière. Du jamais vu. Des cartes géographiques commençaient alors à envahir nos médias avec des zones rouges montrant la force de la contagion. La deuxième alerte était donnée mais cela semblait encore si loin.
Puis avec une célérité incroyable qui nous rappelle que nous sommes à l’ère de la mondialisation, le virus, dont le nom COVID-19 était à présent sur toutes les lèvres, frappait l’Europe. A son tour, le peuple d’Italie commençait à payer un lourd tribu sous les yeux hagards des autres occidentaux et de la « naïveté » ou de l’arrogance parfois de certains Hommes. La troisième alerte était donnée.
Groggy et tétanisés par l’ampleur du phénomène totalement inédit, les Etats avaient du mal à réagir et à décider des solutions. Fallait-il agir de la même façon ? Fallait-il confiner et priver de liberté tout un peuple ? Fallait-il déséquilibrer un système économique déjà fragile ? Fallait-il contrarier un peuple déjà en souffrance ?… Où était le juste équilibre ? Les états nations ne trouvaient pas le chemin d’une convergence avec leurs gouvernances désunies. La quatrième alerte était donnée.
Désormais, nous étions plongés dans l’urgence sanitaire avec des régions de France durement touchées, des hôpitaux submergés et un nombre de victimes et de personnes contaminées qui augmentait sensiblement. L’Etat déclarait l’urgence mais le peuple de France avait encore beaucoup de mal à croire en sa vulnérabilité. Alors l’Etat décidait de mettre au confinement le pays des droits de l’Homme sans très bien mesurer l’impact de ses premières décisions sur les organisations productrices de France. A l’urgence sanitaire s’ajoutait l’urgence économique avec une impression indescriptible de chaos. Fin des alertes, nous sommes un pays « en guerre », nous devons faire face.
La peur a envahi le peuple de France médusé. La peur de se voir contaminé et la peur du lendemain.
Alors, cette peur pourrait-elle être salvatrice ? Pourrait-elle faire prendre conscience des enjeux de l’humanité ? Pourrait-elle nous obliger à changer un monde qui semblait déjà au bord du gouffre ?… C’est la nature qui s’adresse à chacun des Hommes. Qu’allons-nous faire pour lui répondre ? Demain ne sera plus pareil…
Étrangement, ce n’est pas la Chine qui est la première à incriminer et la seule. Ce sont ces Hommes déshumanisés et désincarnés qui poussent dans l’inconscience ou l’aveuglement général, l’Humanité dans ses retranchements. Ces Hommes qui annihilent les cultures singulières pour une globalisation fade et sans âme. Ces Hommes qui vivent au rythme des indicateurs financiers et des profits sans limite. Ces Hommes qui alimentent l’économie d’une dictature ou la précarité sociale de certains peuples au détriment de leurs con-citoyens. Ces Hommes qui poussent, incitent, soutiennent une croissance continue et un consumérisme absolu au détriment de la planète. Ces Hommes dogmatiques qui négligent la nature qui leur a donné vie. Ces Hommes qui obligent leur peuple par des systèmes politiques et économiques sans morale. Ces Hommes qui utilisent ou tentent d’utiliser les progrès technologiques pour asservir les peuples en dehors de toute éthique. Ces Hommes qui ont pris le pouvoir aux multiples facettes pour dominer les autres Hommes. Ces Hommes dépourvus d’âme et abreuvés de cupidité. Ces Hommes, étranges êtres, qui ont aliéné les autres Hommes.
Mes pensées sont tourmentées par ces Hommes qui ont envahi notre planète et la rendent malade presque agonisante. Le réseau de ces Hommes est tellement vaste qu’il est devenu hors de contrôle. Aucune frontière, aucun continent, ne leur résiste. Ni le temps ni l’espace n’ont raison d’eux. Ils se répandent avec une vitesse de propagation jamais vue. Pire, ils ont un pouvoir de contagion et de mutation qui ne fait qu’augmenter leur dangerosité au fil de leur progression. Le chaos ou l’ordre sont leurs terrains de prédilection et de domination. Ces Hommes sont partout parfois visibles aux communs, parfois invisibles. Mais ils sont là, qui sont-ils vraiment ? Sommes-nous de ceux-là ?
Alors mes pensées tourmentées cherchent les autres Hommes comme le yin et le yang. Ces contraires qui font l’équilibre de la vie. Ces autres Hommes emplis d’Humanité qui veulent faire juste, qui veulent faire utile et qui veulent faire le bien. Ces autres Hommes que l’humanité d’aujourd’hui étouffe au point de se mettre en danger de survie. Ces autres Hommes qui sont capables d’inspirer et de guider l’humanité vers l’équilibre et l’harmonie nature. Ces autres Hommes qui pourraient créer un élan de solidarité et de bienveillance entre tous les Hommes. Ces autres Hommes qui savent que rien n’est inéluctable, que l’utopie d’un jour peut être la réalité d’un autre. Ces autres Hommes qui donnent le désir d’une planète belle à l’humanité. Ces autres Hommes qui préfèrent vivre en résonance avec les autres, le monde et la nature. Ces autres Hommes qui empathiques, en résonance avec eux-mêmes, inspirent la confiance et sont dignes de la confiance qu’on leur accorde. Ces autres Hommes qui agissent dans l’intérêt commun pour que les peuples vivent bien. Ces autres Hommes qui sont les gardiens d’une humanité pleine d’humanisme. Puissions nous être de ceux-là ?
Mes pensées tourmentées cherchent la voie entre les uns et les autres. Parce qu’entre les uns et les autres, il y a la vacuité, le vide médian. Une force invisible que personne ne mesure mais qui préside à la destinée des peuples. Cette force invisible qui a tant d’importance pour l’humanité. Cette force qui lie le destin des uns et des autres. Cette force d’animation et de liaison qui scelle le futur des Hommes. Cette force, énergie suprême, qui crée et défait les harmonies. Cette force qui semble vide sans en être. Cette force qui semble absente mais qui est partout. Cette force qui échappe à l’Homme de bien. Cette force qui pourrait sceller le sort de l’humanité toute entière. Cette force transcendante et immanente, infiniment grande et infiniment petite. Cette force multidimensionnelle qui échappe aux sens et à la raison.
Ces pensées qui me tourmentent sont autant d’émotion que de raison. Elles sont un questionnement sur le sens de l’existence, le sens d’être, le sens de la vie, le sens commun. Elles sont intrigantes par leur existence même. Elles sont intriquées tant elles occupent les dimensions à l’infini. Elles sont tout simplement troublantes.
Il n’y a pas de vérité qui ne saurait s’imposer à l’horizon de ces pensées. Comme une énergie si particulière qui guide sans le dire. Font-elles partie de cette force qui préside à la destinée du tout dont on ne sait ce qu’il est ? Dans ces pensées, l’invisible se confond avec l’infini. L’un comme l’autre inaccessibles. Ni mesurables, ni quantifiables, ni à classer. Ils échappent, et l’un et l’autre, au contrôle de la raison. Est-ce là un message de ce tout qui nous transcende ? Aucun Homme ne parviendra jamais à le dominer. Aussi loin que le portera son esprit cartésien, l’inconnu suivra l’inconnu. Cette voie de la domination n’est pas la bonne.
Alors, malgré tout cette vie et ces pensées existent. Dois « je » les ignorer pour vivre bien ? Dois « je » les libérer de ce que « je » suis ? Comme une onde qui crée une résonance. Une onde qu’aucune limite n’encadre. Une onde qui se propage, invisible et infinie, pour lier les Hommes dans une nouvelle harmonie salvatrice. Dans une pensée qui n’est pas unique mais multidimensionnelle et multiforme. Dans une pensée qui réconcilie les infinis dans un espace bienveillant. Dans une pensée qui prend sa source dans les maux de l’humanité pour lui apporter le bien.
Ces pensées sont dans chaque être depuis que l’Homme pense. Aussi loin que remonte la pensée philosophique et la sagesse des Hommes, ces pensées existent. Étrangement, elles n’ont ni religion, ni culture, ni genre, ni couleur, ni lieu, ni prix et sont insoumises au temps. Tout simplement elles existent enfouies au plus profond de l’âme. Est-il possible de les libérer pour les unir et révéler à tous cette force invisible qui nous conduirait sur la voie d’une humanité humanisée ?
Ces pensées tourmentent les Hommes qui choisissent la libre pensée. Ces Hommes qui ont fait tomber, avant les autres, les murs de pensées aliénantes. Certains jalonnent l’histoire de l’humanité et beaucoup d’autres occupent l’ombre. Dans la philosophie, dans les sciences, dans l’art, la pensée libérée, qui a résonné, a forgé l’identité de notre monde d’aujourd’hui.
Ce monde que nous devons à présent changer pour le préserver avec cette force invisible et le désir de vivre ensemble autrement.
Alors, bien sûr, il y a aussi ces Hommes qui ne veulent rien entendre. Ces Hommes qui sont aliénés ou résignés. Il y a ces Hommes qui expriment leur mal-être sans percevoir la lueur de l’espoir. Ces Hommes qui cloîtrent leurs belles pensées dans le fort intérieur de leur inconscience. Ces Hommes qui n’entendent pas les pensées de l’âme. Ces Hommes qui luttent contre leurs contradictions. Ces Hommes tiraillés entre leur idéal et les marqueurs de ce monde. Ces Hommes d’instinct qui survivent avant d’exister. Ces Hommes qui ne parviennent pas à libérer la force de l’altruisme inné. Ces Hommes qui souffrent de ne pas parvenir à trouver le sens de leur vie. Ces Hommes qui détournent les idées. Ces Hommes qui attendent ou résistent aux changements malgré eux, malgré tout. Ces Hommes si vulnérables. Ces Hommes seuls perdus avec leur égo. Nous devons leur résister.
Ce monde, nous pouvons le changer à la force de nos pensées bienveillantes. A la force de ces pensées collectivement libérées qui se concrétiseront en actions. D’une force de pensée à une force d’agir ensemble. Alors ces Hommes qui ont su libérer leurs pensées comme leurs tourments doivent trouver les moyens de leur union. Ces Hommes doivent se chercher, se trouver et se réunir sans a priori ou idées préconçues, presque instinctivement. Unis par la force du désir d’agir ensemble, ils pourraient orienter le monde sur une nouvelle voie. Sans chercher le pouvoir mais en inspirant une pensée cohérente et humaniste. A la quête d’une vertu retrouvée. Tels furent Confucius, Socrates ou bien encore les philosophes des Lumières.
Mais aujourd’hui, l’émergence d’une nouvelle pensée ne peut être l’apanage d’un seul Homme ou de quelques-uns. La connaissance diffuse dans un monde sans frontière met en concurrence des experts trop médiatiques qui se mêlent à des Hommes d’Etat qui s’égarent. Des experts de la pensée dominante qui œuvrent dans l’intérêt de quelques-uns au détriment du plus grand nombre. Nous sommes dans l’ère de la corruption des idées et de l’Homme comme matière marchande. Dans l’ère où l’Homme est dominé par les systèmes qu’il a lui-même créés. Voilà pourquoi, le discernement entre le bien et le mal devient difficile. Ce n’est pas le capitalisme amoral qui fait le bien ou le mal. C’est le choix de ces quelques Hommes de pouvoir.
Comment changer ce monde serait-il possible ? Voilà que les pensées qui me tourmentent font place à une forme de frustration tant il est difficile d’échanger et de capter l’attention. Un sentiment de solitude et d’isolement que les médias ne cessent de renforcer. Est-il bien normal de penser ainsi ? Est-ce utile ? Pourquoi les pensées qui m’habitent mériteraient-elles une attention particulière ? N’est-ce pas là un manque d’humilité ou un égo mal placé ? Bien des Hommes y cherchent un intérêt particulier. « Je » l’ignore. « Je » livre simplement sans calcul mes réflexions, mes inspirations, mes influences, mes convictions sûrement aussi. Ce qui m’anime. Est-ce bien légitime ? Pour certains Hommes à l’évidence non. Cela doit les déranger. Pour d’autres c’est l’indifférence quand quelques-uns semblent y accorder un certain intérêt. Alors, j’aspire à être de ces Hommes qui osent dire qu’ils ont des pensées pour le monde. Ce « je », c’est celui de nombre de penseurs encore trop isolés qui sont de toutes conditions et de toutes origines.
Dans cette situation de crise sanitaire et économique, pour éviter une crise sociale et humanitaire encore plus grave, ces Hommes et la force que représentent leurs pensées pourraient s’avérer utiles. Ces Hommes ont besoin d’écoute, d’échanges et de soutien pour parvenir à faire le bien de l’humanité. Tout n’est pas compréhensible mais si nous ne sommes pas de ces Hommes, apprenons à leur faire confiance, apprenons à les connaître, apprenons à les découvrir comme ils nous aideront à nous découvrir, imaginons-les comme un guide pour explorer un monde nouveau. Ce qui les caractérise, c’est qu’ils ne cherchent pas le pouvoir, ils ne sont ni autocrates, ni dictateurs. Ils guident sans contraindre, ils agissent sans attendre en retour mais croient que la réciprocité peut unir les Hommes de bien. Ils sont constructeurs, ils s’expriment sur leurs pensées, ils inspirent, ils sont bienveillants, ils sont décentrés, ils sont progressistes, ils vivent bien… Chacun de nous peut être de ces Hommes. C’est un parcours de vie, une histoire, une prise de conscience, un choix profond et personnel. Un chemin qui conduit à croire en l’Homme, en ses talents et à aimer le peuple et lui faire confiance.
N’oublions pas que nous sommes tous des Hommes et, à ce titre, tous responsables de notre futur prometteur.
Voilà que les conditions pourraient être réunies pour une réconciliation entre l’humanité et la planète, entre les peuples et les cultures, entre l’individu et le collectif, entre les relations sociales et l’épanouissement personnel, entre le travail et le sens de la vie, entre l’utile et le bien, entre le court terme et le long terme, entre la nature et les Hommes, entre l’essentiel et le plaisir…
Nous avons compris que nous sommes vulnérables, nous prenons conscience de cette interdépendance qui nous lie aussi fortement qu’elle nous met en danger aujourd’hui. C’est une force pas une faiblesse. Ignorons la pensée unique et le manque de vision pour prendre en main notre destin. Renforçons le lien de confiance avec les cercles de ceux qui nous entourent. Réunissons-les pour faire une unité de sens par le rassemblement des idées.
Le confinement est une porte qui s’ouvre sur le re-fondement de l’interdépendance entre les Hommes. L’espoir d’une alternative qui se départira des systèmes arrivés à leur apogée. Réunissons tous ceux que nous aimons, tous ceux qui nous aiment, tous ceux que nous considérons, tous ceux qui nous considèrent, tous ceux pour qui nous sommes un individu qui compte, tous ceux qui comptent pour nous. De proche en proche construisons cette chaîne de solidarité qui va apprendre à agir à l’unissons avec ses différences. Un réseau qui va connecter les individus qui partagent cette volonté profonde de changer le monde et les mettre en résonance. Inventons notre nouveau média humaniste.
L’onde porte l’âme initiale de l’humanité, de la résonance avec soi, les autres, la nature et le monde. L’essentiel du bonheur est dans ce que nous vivons d’essentiel, dans cette force spirituelle (sans être religieuse) qui nous anime, dans cette prise de conscience qu’avec ceux qui nous entourent, tout devient possible. Le bonheur, il ne se cherche pas, il est en chacun de nous. Ce n’est pas une quête mais une contemplation. Décidons d’être heureux de revivre une nature apaisée par le contrôle des activités polluantes. Décidons d’être heureux de retrouver l’amour de nos proches. Décidons d’être heureux de ressentir le bon rythme de l’horloge biologique, décidons d’être heureux de refaire partie de cette nature. Avançons simplement à petits pas, des petits pas qui seront un grand pas pour l’humanité. Rapprochons-nous en partageant nos pensées et nos émotions, nos activités et nos volontés. Contemplons et observons, analysons et agissons sur notre milieu de vie. Cherchons l’essentiel pour sortir du consumérisme et du rythme artificiel d’une vie devenue désuète. Émerveillons-nous d’une vie nouvelle, comme nous la déciderions. Émerveillons-nous face à ces petites choses qui nous font sourire.
Nos vies intriquées sont jalonnées de rituels qui dessinent notre avenir. Changeons nos rituels quotidiens, simplement avec une volonté de penser autrement. Le confinement nous y oblige, profitons-en. Cassons les codes établis pour ouvrir une autre voie. Prenons le temps de penser à nous, à ce qui nous unit aux autres, à la nature. Hier nous pensions continuité de service, aujourd’hui pensons aussi à humaniser l’humanité. Partons à la conquête du nouveau monde. Créons tous les espaces de concertation nécessaires pour inspirer, rassembler et soutenir. Abreuvons-nous de nos idées, de nos vécus, de nos sentiments, de nos émotions. Il n’y a pas de bien ou de mal. Il n’y a pas de pour ni de contre. Il n’y a aucun jugement. Juste nous et nos idées.
Parlons sport, parlons nature, parlons philosophie, parlons maison, parlons enfant, parlons amour, parlons de science, parlons de sociologie, parlons décoration, parlons énergie, parlons jardin, parlons musique, parlons peinture, parlons d’art, parlons d’histoire, parlons de géopolitique, parlons de technologie, parlons de culture…
Parlons de talent, parlons de compétence, parlons de connaissance, parlons de progrès, parlons de service, parlons de produit, parlons de technologie, parlons d’organisation, parlons de simplicité…
Mélangeons nos pensées pour stimuler et animer notre intelligence collective. La force invisible et infini qui occupe ce vide médian fera le reste. Les pensées font la grandeur d’âme. La grandeur d’âme fera l’humanité humaniste !
Est-ce si difficile que nous n’osons pas ?
Cette crise est un accélérateur de transformation que nous pouvons et devons utiliser pour le bien commun. En étant de ces Hommes qui croient en la solidarité, la responsabilité et la réciprocité. De ces Hommes qui parient, avec confiance et détermination, sur l’intelligence collective et la bienveillance. Ces Hommes qui agissent ensemble dans une même direction sur le chemin de la réussite. Soyons de ces Hommes qui osent un monde nouveau où la nature sera préservée et où il fera bon vivre avec un fonctionnement nouveau plus participatif et plus coopératif. Assurons-nous que la gouvernance dogmatique et désunie d’hier laisse place à une gouvernance concertante et humaniste.
Ce n’est pas une révolution, c’est une transformation accélérée menée par des Hommes responsables, solidaires et bienveillants qui sauront agir en synergie et avec leurs talents dans toutes les strates de la société, dans tous les territoires… N’attendons pas après les autres pour soutenir le changement que nous devons incarner solidairement.