The Good Company
« The Good Company », l’entreprise agile et performante qui vit avec son temps et où il fait bon vivre. L’entreprise qui exerce pleinement sa responsabilité sociétale avec éthique.
Comment penser l’entreprise autrement pour lui donner un autre élan et plus d’agilité dans des marchés de plus en plus exigeants ? Des marchés qui se transforment très vite et des systèmes socio-économiques qui sont en plein bouleversement. Repenser l’entreprise, c’est aussi repenser les relations sociales et culturelles qui s’exercent au sein même de l’entreprise, dans la société et dans son territoire d’action qui s’élargit constamment.
Osons sortir des sentiers battus pour emprunter le chemin de la réussite. Avec simplicité, pragmatisme et créativité, nous avons toujours la faculté de repousser les limites du possible. « Ce n’est pas parce que c’est difficile que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas que c’est difficile ».
Libérons les initiatives au sein de l’entreprise et au-delà, tout en s’inscrivant dans une stratégie claire et un cap solide, anticipons et gérons les risques en adoptant une attitude offensive, pilotons et animons un collectif dans un esprit de co construction, adoptons et partageons une culture du résultat et de la chasse aux gaspillages, responsabilisons tous les acteurs, donnons du sens à l’action quotidienne…
Libérer les initiatives, c’est libérer l’entreprise et lui conférer plus d’autonomie et d’efficacité dans son fonctionnement pour la rendre plus performante et réactive.
Un travail de fond qui semble bien loin des préoccupations de court terme de gestion de trésorerie, de livraison à l’heure, d’une chaîne logistique défaillante, des taux de rebuts pour non qualité, des délais extensibles de paiement, de la pression sur les coûts et les prix, de la négociation ou de la perte d’un gros contrat, d’un marché saisonnier difficile à anticiper, d’un outil de production qui est en panne, d’une gestion des stocks défaillantes, d’un schéma industriel à revoir, d’une capacité de production trop importante, d’un effectif sur dimensionné notamment pour les fonctions supports, d’un manque d’innovation, de la gestion de la croissance…
Pourtant, tout le monde en conviendra, le « carburant » de l’entreprise se sont les hommes avec leur intelligence sociale, leur intelligence collective, leur intelligence émotionnelle et leur capacité d’innovation. Un collectif solide, cohérent et respectueux qui comprend le sens de l’histoire à écrire, renforce l’entreprise et lui permet de faire face de manière constructive aux situations les plus délicates en trouvant les solutions les mieux appropriées. Les préoccupations précitées sont finalement et bien souvent une conséquence d’une équipe pas suffisamment responsabilisée et collectivement engagée.
Ensuite, les nouvelles technologies apportent aujourd’hui leur lot de nouveautés avec un impact considérable sur tous les systèmes y compris sur l’eco système de l’entreprise. Impossible de passer outre la digitalisation et la transformation numérique de l’entreprise. Il faut en faire un atout pour décupler avec simplicité la capacité de développement de l’entreprise et saisir les opportunités du marché. Elles accélèrent la diffusion de l’information et bouleversent les usages. Les organisations traditionnelles ne pourront y résister. La référence n’est plus l’organigramme mais le réseau social ! Nous en revenons, là aussi, aux impacts sur le mode de fonctionnement au sein de l’entreprise…
Nous sommes donc, à l’évidence, dans un contexte où il est opportun de repenser son entreprise dans ses fondamentaux, sa gouvernance, ses processus, son modèle économique, son marché (la façon dont elle l’appréhende) et ses ressources pour l’inscrire sur le chemin de la réussite. Une façon également de réconcilier une vision court terme avec une vision moyen/long terme en apprenant à évoluer avec toutes les incertitudes que nous connaissons.
Certains ont entamé cette démarche, ils peuvent témoigner des raisons qui les ont conduit à se transformer et expliquer où ils en sont en faisant part d’un retour d’expérience, d’autres y pensent mais n’ont pas franchi le pas, ils peuvent nous dire pourquoi et d’autres encore ne se sentent pas concernés, ils pourront, eux aussi, témoigner de leur position.
En conclusion, le chemin à suivre pour demeurer ou devenir « The Good Company » est avant tout dans la volonté et les convictions des dirigeants d’entreprise ! Le reste, c’est simplement la mise en place de solutions innovantes et sur mesure qui sont disponibles !